Avec la dictée vocale, c’est assurément la fin des troubles musculosquelettiques (TMS), des tendinites, des épicondylites et des syndromes du canal carpien, provoqués par les frappes répétées sur le clavier et les mauvaises postures devant l’écran d’ordinateur.
Les premiers signes de troubles musculosquelettiques sont des douleurs, des maladresses, des raideurs ou encore une perte de force musculaire lors d’un mouvement. Ils peuvent entraîner une incapacité au travail et dans la vie quotidienne. Il est donc important de veiller à ce que ces troubles n’apparaissent pas. Ces troubles sont localisés autour des articulations ou au niveau de celles-ci, parmi ces dernières nous retrouvons ; les mains, les poignets, les coudes, les épaules ou encore les genoux.
Un agent du service public sur trois a déjà été victime de troubles musculosquelettiques TMS au travail. Les troubles musculosquelettiques TMS sont d’ailleurs reconnus comme étant la 1ère maladie professionnelle en France. Pis, 90% des TMS reconnues d’origine professionnelle concernent les membres supérieurs. En 10 ans, leur nombre a augmenté de 60% (source Carsat) et l’impact financier est énorme pour les organisations.
Cette maladie est donc considérée comme professionnelle. Il existe beaucoup de métiers physiques qui abîment fortement le corps. Mais les métiers de bureau en font hélas également partie. En effet la frappe au clavier endommage certaines articulations, telles que celles du poignet ou des doigts.
Rappelons que l’assurance des risques professionnels est financée par les entreprises sur la base de cotisations calculées en fonction de leur sinistralité passée. À ce titre, près d’un milliard d’euros a été versé par les organisations sans compter les coûts indirects (absentéisme, perte de compétences, contentieux, etc.). Les troubles musculosquelettiques TMS, ce sont aussi près de 10 millions de journées de travail perdues, soit 45 000 ETP. Et plus de 250 000 organisations sont concernées. En effet, la prise en charge d’un syndrome du canal carpien est estimée à 11 000 euros et un TMS concernant l’épaule à 80 000 euros.
Les troubles musculosquelettiques TMS constituent une source de désorganisation majeure, ils peuvent entraîner une baisse de performance pour l'organisation (diminution de la productivité, de la qualité, etc.) et avoir un impact majeur en matière d'absentéisme et de turnover. Heureusement, des solutions peuvent être mises en place afin de réduire le risque de TMS et la dictée vocale arrive en pole position. La dictée vocale permet, en effet, de s’éloigner du clavier et conduit à améliorer la qualité de vie des agents au travail.
Si vous aviez encore des doutes et des objections sur l'efficacité d'une solution de dictée vocale, ces éléments devraient finir de vous convaincre.
Les troubles musculosquelettiques en chiffres :
Grâce à la dictée vocale, vous pouvez produire 5 fois plus vite et cela en toute sécurité !
La dictée vocale vous permet de produire 5 pages Word en 12 minutes contre 1 heure avec le clavier. Cela équivaut à une demi-journée économisée par semaine grâce à la dictée vocale !
En plus du temps économisé, votre santé et vos conditions au travail seront améliorées, tout en étant plus productif avec la dictée vocale.
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